Les QCM interactifs sont accessibles à partir de la page d’accueil du coaching virtuel à accès gratuit dilingco.com

 

Page 1.

 

Organisation & anatomie

 




Sélectionnez les deux affirmations exactes :

 

1- Une odeur intense est désagréable

2- On ne peut pas se souvenir d’une odeur

3- Les  cornets sont des plis qui accroissent la surface d’échange avec l’air

4- [A] : Les cornets, les lames criblées, sont dans l’os sphénoïde

5- Des fibres du nerf trijumeau [V], branche maxillaire, sont aussi olfactives

6- Le bulbe olfactif est séparé du cerveau par l’os frontal

 

Les affirmations 3 et 5 sont exactes.

 

Affirmation 1

Pas forcément.

Caractéristiques principales d’une odeur :

- sa force (ou intensité),

- son identité (ou qualité),

- son caractère affectif (agréable ou désagréable), aussi appelée sa tonalité hédonique.

 

Affirmation 3

Oui.

Sinus & cornets

 

Affirmation 4

Non.

[A] : Les cornets, les lames criblées, sont dans l’os ethmoïde.

Sphénoïde & ethmoïde

 

Affirmation 5

Oui.

Nerf trijumeau, Nerfs crâniens

 

Affirmation 6

Non.

Le bulbe olfactif est dans la boite crânienne juste dessous le cerveau.

 

 

 

 


Page 2.

 

Système olfactif

 




Sélectionnez les deux affirmations exactes :     

 

1- Épithélium olfactif : cellules basales, cellules de soutien, neurones olfactifs bipolaires, glandes muqueuses

2- Les neurones olfactifs ne peuvent pas se régénérer

3- Glomérules : structures physiques, liaisons synaptiques des axones des neurones olfactifs, des dendrites des cellules mitrales et de cellules locales diverses

4- Les molécules odorantes, majoritairement hydrophobes, ne peuvent pas traverser le mucus et être détectées par les récepteurs des cils neuronaux

5- La transduction des odeurs en PA ne ressemble pas à la transduction saveur sucré/PA

6- Les récepteurs des neurones olfactifs sont tous identiques et tous les neurones font synapse avec les mêmes glomérules

 

Les affirmations 1 et 3 sont exactes.

 

Affirmation 1

Oui.

Les neurones olfactifs, bipolaires, sont de 5 à 20 millions :

- la sensibilité du système olfactif est bien supérieure à celle du goût,

- détérioration avec l’age,

- détérioration avec les fumées, gaz toxiques, ...

 

Affirmation 2

Si.

Les neurones olfactifs se régénèrent constamment tous les deux à trois mois.

(Mais détérioration avec l’age, la fumée, …)

 

Affirmation 3

Oui.

Glomérules :

- liaisons synaptiques d’axones et de dendrites diverses

(De cellules mitrales, de neurones de deuxième ordre, de cellules à panaches, d’interneurones locaux),

- structures sphériques de 100 à 200 microns de diamètre,

- quelques milliers.

 

Affirmation 4

Si.

Les molécules odorantes, majoritairement hydrophobes, peuvent traverser le mucus, soit par diffusion lente, soit par liaisons avec des protéines de transport OBP qui les font traverser le mucus.

OBP : Odor binding protein.

 

Affirmation 5

Si.

La transduction des odeurs en PA ressemble à la transduction saveur sucré/PA.

Transduction des odeurs en PA :

- les molécules odorantes sont des ligands des récepteurs membranaires des cils,

- très nombreux types de récepteurs olfactifs,

- récepteurs métabotropes couplés à une protéine G,

- la protéine G active une enzyme adénylate cyclase qui active un second messager (AMPc),

- le second messager ouvre des canaux ioniques qui laissent entrer les ions Na+ et Ca2+,

- dépolarisation de la membrane,

- génération de neurotransmetteurs et de PA, potentiel d’action

 

Affirmation 6

Non.

- Récepteurs olfactifs très variés,

- chaque neurone sensoriel est activé, plus ou moins (*), par de très nombreuses substances.

(*) : La fréquence des PA est plus ou moins importante.

- C’est la perception des différentes populations neuronales activées, des différents glomérules concernés, qui permet au cerveau de définir une carte olfactive et de reconnaître les odeurs.